Tout comme moi, Patrick Hannedouche pratique le parler-vrai… et il sait de quoi il parle ! Peu à l’aise dans les grands groupes, il a démarré son aventure entrepreneuriale en 1990 en lançant ce qui allait devenir une belle success story, Juste à temps, le N°1 de la convivialité au bureau. Et, loin des formations théoriques pratiquées par des enseignants qui n’ont jamais été entrepreneurs, vous avez l’occasion de le rencontrer jeudi en assistant à son cours « Tout ce qu’il faut savoir pour passer de cadre sup’ à entrepreneur ».
De nombreux cadres rêvent d’entreprendre, pourquoi pas vous ?!
Alors, ami(e)s cadres avec un projet entrepreneurial, si vous voulez vous lancer, foncez et venez assister à cette formation qui aura lieu à Paris ce jeudi 28 novembre de 19H30 à 21H30. Deux heures pour bénéficier des conseils de Patrick qui vont bien pour quitter la panoplie de « l’executive manager » sûr de lui et endosser les habits de l’entrepreneur de terrain prêt à se remettre en cause.
Voici un aperçu du programme:
- Les différences principales entre les entrepreneurs et les « cadres sup' »
- Connais-toi toi-même
- Quitter son emploi dans les conditions optimales
- Créer ou reprendre une entreprise ?
- S’associer, ouvrir son capital
- Le budget prévisionnel
- Le facteur clé de succès : la trésorerie…
Ça vous tente ?
Pour vous inscrire, c’est simple comme aller sur http://www.leeaarn.com/lesson?lesson=604
PS : Au cours de sa formation, Patrick fera gagner un exemplaire de mon livre A vos marques, prêts, entreprenez !, pourquoi se priver ?
Je n’ai rien contre les cadres sup qui deviennent entrepreneurs, mais je pense que c’est plus dur pour eux que pour d’autres.
Se retrouver en mode « système D », ne plus avoir d’assistante qui prend tes rendez-vous, répond au téléphone, organise tes déplacements. Ne plus avoir de petites mains pour faire les tâches répétitives réputées non productives… etc…
C’est à mon avis une des causes d’échec de cette population en tant qu’entrepreneur. J’ai pris conscience de cela un jour en discutant avec le Président de France Angels qui disait avoir souvent investi de façon affective dans des boîtes d’amis anciens cadres sup qui éprouvaient de grandes difficultés à se retrouver démunis de collaborateurs. Et la boîte de couler quelques mois ou années après.
Heureusement, ce n’est pas une règle absolue, et j’imagine qu’il y a des exceptions.
En même temps, les ex-cadres ont souvent plus de ressources financières propres que les primo-entreprenants (ça existe ce terme ?) et évitent l’écueil du « voir petit ».
A double tranchant donc.
Merci magic pour ton commentaire !
Pour continuer le débat concernant les cadres sup qui deviennent entrepreneurs, j’insisterai sur la différence entre le cadre sup qui le fait par vocation et celui qui le fait parcequ’il s’est fait virer.
Votre avis ?
le monde appartient à ceux qui rêvent trop nous a-t-on dit un jour. je pense qu’il faut être ambitieux dans la vie et savoir prendre des risques. A juste titre j’ai apprécié l’article. Merci