Hier, j’ai eu l’occasion de débattre avec Grégoire Motot sur un sujet aussi fascinant que complexe : « L’IA va-t-elle prendre le pouvoir sur l’humanité ? » La vue sur Bali ajoutait une touche pittoresque à cette discussion intense. Ce débat me fascine toujours autant, j’en avais déjà parlé ici par exemple.
Le scénario science fiction devient-il réalité ?
Des œuvres de science-fiction ont longtemps spéculé sur ce thème (Terminator, Matrix, The creator…), mais aujourd’hui, cette question n’est plus purement fictive. Récemment, une lettre d’employés d’OpenAI a révélé des avancées majeures dans le domaine, suscitant des inquiétudes palpables. Cette lettre parlait de la possibilité d’avoir découvert quelque chose de très proche de la super intelligence, la fameuse AGI.
Mon point de vue : Entre admiration et appréhension
En tant qu’admirateur de longue date de la technologie et utilisateur quotidien de l’IA, je reconnais ses bénéfices immenses. C’est un bijou, cette technologie, bien utilisée, augmente nos capacités. Cependant, la vitesse de son évolution et notre compréhension limitée de ses implications soulèvent des questions cruciales.
Est-ce que la course au progrès, motivée par la concurrence commerciale, nous fait négliger les risques potentiels ?
N’allons-nous pas trop vite, comme s’en inquiétait le regretté Stephen Hawking.
La vision de Grégoire : Optimisme mesuré
Grégoire, de son côté, ne partage pas ces inquiétudes. Selon lui, l’IA aura toujours besoin de l’humain et ne pourra causer que des dommages limités. Il était très optimiste et me disait que pour lui, d’autres problèmes bien plus graves touchaient le monde aujourd’hui.
Mais avec presque tout connecté à Internet, je crains que son potentiel de nuisance ne soit bien plus grand.
Vers quel avenir ?
La question demeure ouverte et la réponse reste incertaine. Mon espoir est que nous comprenions et maîtrisions l’IA avant qu’il ne soit trop tard.
En attendant, je vous invite à rejoindre notre grand débat sur l’IA le 20 décembre à 17h sur LinkedIn. Ne manquez pas cette occasion de plonger plus profondément dans cette discussion cruciale pour notre avenir commun.